1. L'Annonciation

2. Jésus au jardin des Oliviers

 3. L'arrestation de jésus 

4. Jésus devant Anne 

5. Jésus devant Caïphe 

6. Jésus ramené devant Anne 

7. Jésus devant Pilate 

8. Jésus devant Hérode 

9. Jésus ramené devant Pilate 

10. La Dérision 

11. La Flagellation

12. Le Couronnement d'épines

13. Ecce homo

14. Pilate se lave les mains

15. Judas rend les trente deniers 

16. La mort de Judas

17. Le Portement de croix (vestiges) 

18. La Mise en croix (vestiges) 19. Crucifixion

20. La Descente de croix 

21. Jésus aux enfers

 22. La Résurrection

Plampinet

Eglise paroissiale Saint-Sébastien 

construite en 1510, 

les peintures murales sont du XVIème 

entre 1532-1550

sans doute des disciples de l'école de Turin 

ou de la famille même de Jacquério

 

Commune de Névache. 

visites : Mme Tétard 0033 492 212 244 

ou Mr Adolf restaurant "Histoire de la Montagne" tél. 0033 492 212 305

Seule la voûte de la troisième travée, l'arc-triomphal ainsi que le mur sud de la nef conservent un décor peint. Une inscription intégrée à ces peintures, qui correspond à une restauration en 1823 par le peintre Hippolyte Laurençon, originaire de Plampinet, donne l'indication de deux dates, 1510 pour la construction de l'édifice et 1532 pour une consécration à la Vierge (Marguerite Roques, Les peintures murales du sud est de la France, p. 304-393)

 

L'Annonciation et la Passion de Jésus depuis le jardin des Oliviers jusqu'à la Résurrection sont illustrées sur l'arc-triomphal, la voûte et le mur sud de la troisième travée. 

Ce cycle, organisé sur vingt et un panneaux, débute sur la moitié gauche de la voûte (nord) au registre supérieur et occupe une partie de l'arc-triomphal, au-dessous de l'Annonciation. Toute l'iconographie de la Passion du quinzième siècle s'y retrouve: les trente deniers, il porte les cheveux roux et une tunique jaune, selon la tradition illustrée par Giotto dans la vie du Christ à l'Arena de Padoue. Sa pendaison apparaît comme un thème ancien; dans les Alpes, nous la voyons à Lanslevillard, à La Brigue par Canavesio. et à San Fiorenzo de Mondovi.  Le démon lui arrache son âme par le ventre, avec les entrailles, et non par la bouche qui avait embrassé le Christ et en avait été sanctifiée. Mais laissons parler le poète : « Mon enfant, ma joie, Mon fils, qui t'a mis à mort ? Mon fils, qui t'a frappé ? Mon fils, qui t'a dépouillé ? - « Ma Dame, on l'a trahi ! Judas l'a vendu, Il en a eu trente deniers, Il a fait là un beau marché ! (Jacopone de Todi, XIIIe siècle).   G. Sentis, L'art du briançonnais, tome I, p.97  

 

Jésus au jardin des Oliviers. Mt 26,36-44; Mc 14,32-40; Lc 22,40-45 (fig. 81).

 

La scène est présentée dans un lieu clos par une palissade en bois dont le portillon abrité par un auvent est entrouvert. Tandis que les apôtres se sont endormis, Jésus agenouillé en prière est visité par l'ange qui porte une coupe, symbole de la souffrance déjà utilisé à plusieurs reprises dans l'Ancien Testament.

L'inspiration de cette scène puise dans le récit de saint Luc, plus imagé que ceux de saint Matthieu et de saint Marc : le visage de Jésus tourné vers l'ange envoyé pour le réconforter ruisselle d'une sueur de sang (Lc 22, 43-44). Les disciples à qui Jésus a confié son angoisse sont ceux qui ont été les témoins de la Transfiguration; Pierre, qui vient de recevoir de la bouche de Jésus une exhortation à veiller et à prier, est assis en arrière dans une position plus précaire que celle de ses compagnons; Jean s'est assoupi la tête posée sur son bras replié sur son genou, dans une attitude gracieuse qui rappelle le geste d'abandon auprès de Jésus qui lui a été attribué sur des représentations de la Cène; la posture de Jacques est celle du dormeur confortablement installé, allongé sur le côté, une main glissée sous la tête.

 

L'arrestation de Jésus. Mt 26, 47-55; Mc 14, 43-49; Lc 22, 47-53; Jn 18, 3-12.

 

Elle se situe selon les évangélistes immédiatement après la scène précédente et se déroule dans le même cadre; le portillon ouvert est barré par un bâton ou la hampe d'une arme. Jésus est étreint par Judas; sa main droite posée sur sa poitrine exprime son consentement 119; il tend vers Malchus renversé à terre l'oreille que Pierre, son sabre ensanglanté brandi, vient de trancher. Tandis qu'un soldat s'apprête à ligoter Jésus avec une corde, un autre soldat saisit Jean par l'épaule. Lances, fauchart, hallebarde, masse pourvue de pointes, hache (abandonnée auprès de Malchus), corde constituent avec un brasero suspendu à une fourche métallique la panoplie déployée par les soldats pour procéder à l'arrestation.

 

  

 

Jésus devant Anne. Jn 18, 13-14, 19-24.

Jésus, mains liées, et les soldats qui l'accompagnent ont pénétré dans une cour à travers un portail monumental; ils se tiennent devant Anne, assis sous un dais d'architecture, coiffé d'une mitre sacerdotale agrémentée d'un turban. Le visage, la chevelure et la barbe d'Anne sont ceux d'un homme encore jeune.

 

Jésus devant Caïphe. Mt 26, 57-68; Mc 14, 53-65; Lc 22, 54-55, 63-71; Jn 18, 24.

Jésus est à présent conduit à l'intérieur d'une salle couverte d'un plafond et éclairée par deux croisées, vue au travers de deux arcades. Caïphe, assis sur un trône orné de feuilles d'acanthe et de têtes de monstres marins sculptées, la tête couverte d'une large toque, est exhorté par de faux témoins et s'apprête à déchirer ses vêtements en signe d'indignation à l'égard de Jésus. Ses traits burinés, sa chevelure et sa barbe grises indiquent un âge avancé.

Selon saint jean (18, 13), Caïphe était le gendre d'Anne 120 et exerçait alors la plus haute fonction sacerdotale. Or, l'aspect physique et le costume des deux personnages ainsi que leur cadre respectif indiquent ici une inversion par rapport au récit évangélique 121

 

 

Jésus ramené devant Anne (voir note 121)

Jésus, les mains toujours liées, est poussé par trois hommes dont l'un accomplit un geste de dérision obscène et maintient Jésus par une corde fixée à sa taille. Anne lève une main et son visage est animé.

 

Jésus devant Pilate. Mt 27, 2, 11-14; Mc 15, 1-6; Lc 23, 1-6; Jn 18, 28-38.

Le prétoire est une salle couverte d'une voûte en berceau et éclairée par des oculi, ouverte sur le devant par deux arcades. Le gouverneur, assis sur une chaire, la tête coiffée d'un bonnet à revers, tient un sceptre. Son attitude traduit l'attention portée aux faits qui lui sont exposés par un Juif armé d'un fauchart, suivi de soldats qui maintiennent l'accusé.

 

   

  

Jésus devant Hérode. Lc 23, 8-11.

La cour du palais royal est ceinte de murs couronnés de merlons; des arcades ouvrent au fond sur une galerie couverte de voûtes d'arêtes rayonnantes; à droite est représenté un parvis couvert d'un attique supporté par des colonnes; à l'arrière-plan apparaît le sommet d'une tour ronde. Hérode est assis sur un trône; richement vêtu, une couronne posée sur son chapeau aux bords retournés, il tient un sceptre. Trois hommes, parmi lesquels se reconnaît un des soldats qui poussaient Jésus devant Pilate, passent une tunique blanche 122 sur la robe gris-bleu de Jésus, recouverte sur les panneaux précédents d'un manteau rouge doublé de blanc.

 

Jésus ramené devant Pilate. Mt 27, 15-26; Mc 15, 6-15; Lc 23, 13-25; Jn 18, 39-40.

Parmi les soldats qui accompagnent Jésus se retrouvent celui qui l'habillait précédemment et l'un de ses compagnons, un Juif coiffé d'un bonnet à oreilles. La main levée de Pilate illustre sa discussion avec un soldat qui retient Jésus par le bras et qui, la bouche entrouverte, touche son propre front avec son index.

 

        

 

La Dérision. Mt 26, 67-68; Mc 14, 65; Lc 22, 63-65.

Mains liées, yeux bandés, toujours revêtu d'une tunique blanche, Jésus est assis sur une simple chaire installée dans une salle couverte d'une voûte rayonnante. Quatre hommes, dont trois portent un bonnet pointu, se moquent de lui : l'un montre sa langue, l'autre tire la barbe de l'accusé; tous accomplissent des gestes de dérision, parfois obscènes 123

 

La Flagellation. Mt 27, 26; Mc 15, 15; Jn 19, 1.

Dans une autre salle couverte d'une voûte rayonnante, plus soignée que celle qui servait de cadre à la Dérision, Jésus est fouetté à l'aide de paquets de verges tandis qu'un homme lie ses mains à une des colonnes. A l'arrière-plan, le visage de Pilate s'encadre dans une petite ouverture haute donnant sur une pièce contiguë.

 

 

Le Couronnement d'épines. Mt 27, 27-30; Mc 15, 16-19; Jn 19, 2.

Le décor architectural se réduit ici à un mur devant un renfoncement duquel est installée une chaire presque identique à celle qui a servi à la Dérision. Jésus est vêtu d'une tunique rouge; quatre bourreaux enfoncent la couronne d'épines à l'aide de bâtons.

 

Ecce homo. Jn 19, 4-6.

Pilate présente Jésus couronné d'épines, un sceptre de dérision à la main, un manteau de pourpre jeté sur les épaules, accompagné d'un soldat. Les personnages sont debout sur le parvis d'un palais dont apparaît la colonnade appuyée sur le bahut d'une galerie ouverte sur l'extérieur. Parmi la foule qui se presse en bas se distinguent un prêtre, reconnaissable à sa mitre, un rouleau portant des textes des Écritures à la main, ainsi qu'un homme dont la tonsure et le capuchon de la robe sont les signes d'une fonction religieuse ; la main de certains hommes est levée en signe d'opposition à Jésus.

    

 

Pilate se lave les mains. Mt 27, 24-25  

Poussé par un prêtre qui le tient par l'avant-bras et un groupe de Juifs - l'un porte un rouleau - Jésus se retrouve à l'intérieur du palais de Pilate, en avant d'une galerie couverte de voûtes d'arêtes rayonnant autour d'un culde-lampe. Pilate, debout dans une petite pièce retirée, est assisté par un jeune serviteur qui tient une aiguière et un bassin 124

 

Judas rend les trente deniers. Mt 27, 3-4.

Deux Juifs installés derrière une banque, sous un baldaquin placé à l'intérieur d'une pièce éclairée par une croisée, reçoivent l'argent que Judas puise dans la vaste bourse attachée à sa ceinture; la main levée, doigts écartés en signe de refus de la rançon, et la bouche entrouverte de l'apôtre illustrent les paroles rapportées par saint Matthieu (27, 4) : « J'ai péché en livrant un sang innocent. »

 

 

 

La mort de Judas. Mt 27, 5; Ac 1, 18-19 (fig. 83).

L'âme du malheureux - représentée selon la tradition par un petit homme nu - échappée de ses entrailles à demi-sorties, est attirée par un démon qui prend possession d'elle en saisissant selon un langage conventionnel le poignet et l'avant-bras las

Le départ de Jésus vers le Golgotha. Mt 27, 31-32; Mc 15, 20-21; Lc 23, 26; Jn 19, 17.

Quelques vestiges, les têtes de Pilate et d'un héraut sonnant de la trompette situées en avant d'un monument, une main autour de laquelle est passée une corde, au-dessus d'un fragment de la croix, semblent bien correspondre à cet épisode de la Passion, situé par le peintre aux abords immédiats de la ville.

 

La Mise en Croix. Mt 27, 35; Mc 15, 24; Lc 23, 33; Jn 19, 18.

De cette scène n'apparaît plus, dans la partie supérieure, que le buste d'un homme vêtu d'une tunique, peut-être en train d'installer Jésus sur la croix.

L'espace que devaient occuper ces deux dernières scènes débordait sans doute la surface du mur actuellement préservée par l'ouverture du choeur, vraisemblablement plus réduite à l'origine.

 

   

Bon et mauvais larrons

Saintes femmes au pied de la croix

Crucifixion. Mt 27, 33-50; Mc 15, 24-37; Lc 23, 33-46; Jn 19, 18-34 (fig. 84).

Les trois croix sont plantées sur une hauteur en arrière de laquelle s'étend un paysage de collines au profil doux traité dans des tons d'ocre dégradés vers le fond, peuplé d'arbres et d'éléments d'architecture : enceinte d'une ville au centre, forteresses à gauche et à droite.

Tandis qu'un ange accueille l'âme du bon larron conformément à la promesse du Christ (Lc 23, 43), un démon enlève celle du mauvais larron.

Outre les Saintes Femmes et saint Jean, Stéphaton et Longin, ont été représentés les accusateurs du Christ venus assister à son supplice et les soldats qui se partagèrent ses vêtements.

De part et d'autre du Christ, les yeux mi-clos, le côté percé, à qui Stéphaton tend une éponge, se trouvent des larrons dont un ange et un démon se saisissent des âmes - l'une sereine, mains jointes comme celles des saints, l'autre tourmentée, une main levée comme celle de judas.

Au pied des croix s'agite un petit monde organisé en plusieurs groupes. A gauche, saint jean et les Saintes Femmes soutiennent la Vierge dont le visage est renversé vers son fils; au second plan, deux Juifs sont debout près de Stéphaton, une main levée. A droite se trouve un groupe de juifs à la tête duquel un homme se distingue par la qualité de son vêtement et de sa bourse; juste en arrière est représenté Longin à cheval, en armure, la tête ceinte d'un turban et d'un chapeau. Au premier plan, quatre hommes se querellent : deux d'entre eux, armés de dagues, en sont venus à se battre; les deux autres, au cours d'une partie de dés animée, se disputent la tunique du Christ (selon Jn 19, 23). Ést-ce intentionnellement que le regard de ce dernier semble tourné vers les deux derniers groupes?

 

La Descente de croix. Mt 27,57-59; Mc 15,43-46, Lc 23,50-53; Jn 19,38-40.

Tandis que saint Jean, Nicodème et Joseph d'Arimathie descendent le corps du Christ, la Vierge est assise sur le sol, à demi-inconsciente; Marie-Madeleine soutient son buste et une Sainte Femme est agenouillée auprès d'elle, bras croisés.

Le paysage, un peu différent du précédent, est traité de la même manière, simplifié à l'arrière-plan.

 

 

Jésus aux enfers. Origine apocryphe (fig. 85).

Jésus, les épaules recouvertes d'un manteau pourpre doublé de blanc, la croix de la Résurrection à la main (la partie supérieure de cette croix a disparu), accueille la foule des patriarches et des prophètes qui sortent de la gueule de Léviathan.

Ce thème est d'origine orientale; son caractère narratif, induit en particulier par l'évangile apocryphe de Nicodème, a été répandu par de nombreux ouvrages, parmi lesquels le Speculum humanae salvationis et la Légende dorée; il a été repris dans le Credo court 126

Selon une tradition rapportée par Jacques de Voragine, ce sont les fils du vieillard Siméon apparus à Anne, Caïphe, Nicodème et Gamaliel qui contèrent comment, avec Adam, Isaïe, Siméon, Jean-Baptiste, Seth et tous les patriarches et les prophètes, ils furent tirés des ténèbres de l'enfer par le Christ qui les accueillit avec ces mots : « Venez à moi, tous mes saints, qui étiez mon image et ma ressemblance » 127.

 

La Résurrection. Mt 27, 65-66, 28, 2-7; Mc 16, 4-7; Lc 24, 2-7; Jn 20, 1-8.

Le Christ est en train d'enjamber son tombeau environné de rochers, placé en avant  d'une anfractuosité; il bénit de la main  droite et tient de l'autre la croix de la Résurrection. Un soldat est endormi au premier plan, sa hallebarde posée sur ses genoux; son compagnon, éveillé en sursaut, armé d'une hache, a levé une main. La partie gauche de la scène n'est plus lisible.  

  

Un autre ensemble peint un peu plus tard, situé non loin de là, à Puy-Saint André, comprend sensiblement le même nombre de scènes, de la Nativité jusqu'à la Crucifixion. Les cycles sur ce thème conservés sur les murs des chapelles Saint-Antoine à Bessans, Saint-Sébastien à Lanslevillard San Fiorenzo de Bastia Mondovi et Notre-Dame-des-Fontaines à La Brigue comportent un nombre de panneaux plus important : 40 à Bessans et 36 à Lanslevillard et La Brigue.

Les scènes conservées à Plampinet s'inscrivent en effet dans une série d' oeuvres - appartenant à un cycle ou isolées - qui puisent parfois à des modèles communs : planches gravées, germaniques, néerlandaises ou lyonnaises, selon Marguerite Roques ("Les peintures murales en Savoie", dans Actes du congrès des Sociétés savantes, Annecy-Chambéry, 1960, p. 130.).

Par exemple, l'animation qui règne sur le Golgotha, qui peut évoquer les représentations théâtrales - dont Émile Mâle a mis en évidence, parfois avec excès, les rapports avec l'art -, se retrouve sur de nombreux autres Calvaires du XVe siècle et du début du XVIe siècle, souvent conçus selon un schéma comparable, en France comme dans le nord de l'Italie (groupe des Saintes Femmes à gauche, joueurs au premier plan à droite...).

Les comparaisons qui peuvent être faites entre différentes oeuvres sur le thème de la Passion mettent en évidence les caractéristiques propres à cet ensemble, notamment une certaine sérénité, opposée à la véhémence théâtrale de Canavesio à La Brigue, Peillon , San Fiorenzo de Bastia-Mondovi et Pigna, et d'une manière générale aux cycles peints dans le sud-est de la France (Saint Antoine de Bessans et Saint Sébastien de Lanslevillard pour la Savoie; les Pénitents Blancs de Peillon, Notre Dame du Bon Coeur à Lucéram, Notre Dame d'Entre-vignes à Sigale, Notre-Dame de la Protection de Cagnes pour les Alpes Maritimes; et celles de l'église Saint Julien de Tournon dans l'Ardèche) et dans le nord de l'Italie (chapelle Saint Florent de Bastia Mondovi, chapelle du chateau de la Manta à Saluzzo, chapelle Saint Bernardin à Ivrea, ou les chapelles ND des Grâces de Varallo ou de Impéria sur la cote ligure.. Une confrontation de l'ensemble de ces scènes serait du plus grand intérêt." 

_____________________

 

Martyre d'Erasme

Sainte Marguerite

Suite Plampinet :  Notre Dame des Grâces

_____________________

@ 2004 François Darbois  Retour index France

 Hautes Alpes  Rhône-Alpes Piémont   

 

Conformément à la loi n° 78-17 du 6.01.78 CNIL, vous pouvez à tout moment exercer votre droit d'accès, de modification, de rectification, et de suppression des informations vous concernant. Il vous suffit de m'adresser un courrier en ce sens